Présentation
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L’Art et Essai et ses labels
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L’Art et Essai, un combat
"La version originale avec sous-titres pour les films étrangers fut l’élément essentiel qui devait guider en 1954 les fondateurs de l’AFCAE, l’Association Française des Cinémas d’Art et Essai. Mieux encore, cet élément à leurs yeux était indispensable pour qu’une salle obtienne le classement "Art et Essai". Ces fondateurs avaient pour nom Evelyne Cauhepe, Line Peillon, Jean-Louis Chéray, Jeander et Roger Régent. Directeurs de salles prestigieuses à Paris pour les trois premiers et critiques de cinéma pour les deux autres, ces cinq personnes reprenaient une vieille idée d’avant guerre qui avait vu le Studio des Ursulines et le Vieux Colombier mettre au cœur de leur démarche l’art et la recherche cinématographique.
En septembre 1968, nos cinq fondateurs démissionnaient de l’AFCAE parce que les orientations du nouveau président, Jean Lescure, ne correspondaient plus à l’esprit initial qui s’était imposé partout en France et aussi à l’étranger. En un mot, Jean Lescure souhaitait abandonner la version originale sous-titrée qu’il trouvait trop élitiste. De plus, en faisant modifier les statuts de l’association, celui-ci ouvrait la porte toute grande aux multisalles au dépend des salles uniques en changeant la nature du vote aux assemblées générales. En effet, au départ l’AFCAE était une association de personnes appliquant le principe d’une voix unique par propriétaire de salle, qu’il en possède une ou plusieurs. Jean Lescure imposera l’idée de donner aux exploitants autant de voix que de salles possédées. Ce fut le début des dérives avec notamment des classements de films "Art et Essai" fantaisistes. C’est ainsi qu’à sa sortie La grande vadrouille fut classé "Art et Essai catégorie B".
Aujourd’hui, la VOST s’est imposée partout, la notion "d’Art et Essai" s’est diluée, les frontières sont devenues perméables et les complexes multisalles n’hésitent plus à franchir le pas. Là aussi, la dérégulation fait son œuvre et les sanctuaires historiques sont remis en cause dans leur pratique et dans leur implantation. Dans cette évolution, le Cinéma LUX a choisi d’aller de l’avant, fort de son histoire, de son équipe et de son public. Son succès fait bien des envieux chez ses concurrents qui regardent avec attention l’évolution de ses entrées. Dans la bataille qui se dessine, il faudra être inventif encore et toujours et même si l’on a parfois l’impression d’avoir déjà tout essayé, nous devrons être là où l’on ne nous attend pas et montrer qu’avec ses valeurs de solidarité, notre association a les moyens de résister au libéralisme des circuits.
On a souvent dit que le Cinéma LUX était « increvable », c’était une constatation ; maintenant, c’est un défi lancé dans lequel chacun d’entre vous, acteur, doit trouver sa place. On n’a pas fini de s’amuser ! "
Roland Foucher, Vice président du cinéma LUX en 1990 in "Bulletin syndicale de la Chambre syndicale des exploitants."
Les labels complémentaires
Au Lux, s’ajoute à l’attribution du label Art et Essai celle des trois labels complémentaires « Recherche et Découverte », « Jeune Public » et « Patrimoine et Répertoire » en raison de sa programmation et de ses actions spécifiques :
Label Recherche et Découverte : Le label « Recherche et découverte » marque la visibilité dans la programmation des œuvres singulières et novatrices du paysage cinématographique. L’importance accordée au cinéma de recherche au Lux est par ailleurs attestée par son appartenance au Groupement National des Cinémas de Recherche.
Label Jeune Public : Le label « Jeune public » atteste de la richesse et de la régularité dans la programmation d’œuvres destinées à l’enfance et à la jeunesse, hors temps scolaire. Une programmation Jeune public spécifique est proposée au Lux.
Label Patrimoine et Répertoire : Le label « Patrimoine et répertoire » certifie une présentation régulière de films de vingt ans et plus ainsi que d’œuvres de répertoire dans la programmation. Le Lux propose chaque mois une liste de classiques du cinéma à (re)découvrir "Révisons nos classiques", et régulièrement des rétrospectives consacrés à des cinéastes incontournables qui permettent de mettre en avant ces œuvres de répertoire.
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Repères historiques
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1960 – Conçue et construite par des bénévoles du quartier et des compagnons bâtisseurs sous l’impulsion de l’abbé Villain, curé de Sainte-Thérése, la salle paroissiale est achevée après 4 ans d’efforts. Baptisée « LUX », elle est inaugurée le 25 février, en présence de l’évêque de Lisieux, du préfet du Calvados, du sénateur-maire, Jean-Marie Louvel, et de nombreuses autres personnalités du moment qui assistent à la projection de Michel Strogoff de Carmine Gallone, superproduction en cinémascope. La salle a alors pour vocation d’alimenter le dispensaire qu’abrite l’établissement et se cantonne à la diffusion de films familiaux.
1962 – Après 6 mois de probation, Gilbert Benois est officiellement intronisé : il devient le directeur du LUX et le restera pendant plus de 30 ans à titre bénévole. Son arrivée permet de sauver la salle qu’on songeait à fermer pour l’affecter à d’autres fonctions.
1964 – Cantonné aux reprises en 3e ou 4e rang, avec des délais de 1 à 3 ans après la sortie des films tandis que la télévision gagne du terrain, le LUX subit une baisse brutale de ses entrées. Il s’engage alors timidement vers une autre voie, ouverte par les ciné-clubs : l’art et essai s’installe avenue sainte Thérèse dans une ébauche intitulée « Ciné-Culture », à raison d’une séance tous les quinze jours. Le LUX va ainsi tester sa résistance…
1966 – Séduit par le travail de l’Association Française des Cinémas d’Art et Essai (AFCAE) créée en 1955, Gilbert Benois opte pour cette ligne afin de sortir la salle de l’ornière dans laquelle elle se trouve. Le LUX réoriente définitivement sa programmation avec le consentement de l’évêque qui l’oblige, cependant, à conserver quelques créneaux pour les films familiaux.
1968 – Alors que la salle a fait peau neuve et a troqué ses chaises de bois pour des fauteuils plus confortables et que l’association est devenue indépendante de la paroisse, qui reste propriétaire du terrain et des murs, le LUX acquiert, pour la première fois, le label Art et Essai avec le classement « Catégorie A », le haut du pavé. Il rencontre malgré tout des difficultés et on songe une nouvelle fois à fermer la salle. Mai 68 constitue cependant un tournant inattendu. Le public découvre en masse Je t’aime, je t’aime d’Alain Resnais qui relance la machine...
1970 – Après avoir essuyé le refus de la ville de Caen à sa première demande d’aide, le LUX, qui a engagé son premier salarié, élargit sa programmation à des animations qui donnent lieu à des débats animés ou à des soirées de détente où une salle comble s’amuse à sourire ou à frissonner, à faire littéralement le spectacle. La salle trouve ainsi son rythme de croisière.
1973 – La politique volontariste du LUX et son entêtement à programmer des films de recherche ou de jeunes auteurs s’avèrent payants. Le public s’est familiarisé avec ce type de programmation et la ville de Caen lui a accordé, pour la première fois, une aide financière. Avec le tiers temps pédagogique, le LUX est de plus en plus sollicité par le milieu scolaire pour une approche soignée du cinéma.
1975 – Le LUX connaît une période faste. Désormais coordonnateur de trois salles à Caen où il développe des manifestations communes, il a contribué fortement à la mise en place du cinéma à l’université en prenant à sa charge les projections, l’enseignement et les premiers stages assurés par Jean Collet. Au LUX, Tati, venu présenter Parade, offre au public un véritable spectacle burlesque et Henri Langlois s’installe pendant cinq mois dans les foyers du théâtre municipal où il a orchestré une véritable féérie cinématographique.
1978 – Après avoir, successivement au cours des années précédentes, établi son record de fréquentation (182 234 entrées), proposé ses premières projections plein air, donné naissance à l’ACCAAN à l’initiative d’André Guéret afin d’élargir ses activités et de permettre un travail de création, repris la programmation du Drakkar à Dives-sur-Mer et créé la SODAC qui assure la gestion des salles balnéaires (à Lion-sur-mer, Franceville et Ouistreham), le LUX acquiert la propriété complète de ses murs et rénove la salle qui s’équipe de 450 fauteuils rouges…
1980 – Le LUX a étendu sa programmation aux cinémas de Rémalard et Falaise et a par ailleurs racheté les trois salles du centre-ville (Malherbe, Vog et Paris) après le décès de leur propriétaire : il érige ainsi un rempart contre les situations concurrentielles et s’offre un poids supplémentaire auprès des distributeurs. Alors qu’elle célèbre son 20e anniversaire, l’association peut entrevoir des lendemains qui chantent malgré l’ouverture du Gaumont (7 salles) quelques mois plus tôt…
1984 – Depuis quelques années, le LUX résiste comme il peut à la mode des complexes à petites salles et à écrans timbres-poste qui prolifèrent dans le centre des villes. La nouvelle carte du cinéma à Caen se dessine à grands traits : fermeture du Vog dont le LUX vend les fauteuils ; cession du Paris à des indépendants (qui en feront un complexe de 4 salles). Pressé par les instances publiques, le LUX accepte les propositions du groupe Pathé : l’année suivante, le LUX quittera l’avenue Sainte-Thérèse pour se transférer dans le futur complexe Malherbe (7 salles), le 3e, qui achèvera la restructuration du parc cinématographique de la ville.
1987 – Après deux ans de mariage forcé, qui n’ont satisfait ni le groupe Pathé, qui souhaiterait offrir 7 salles conventionnelles aux distributeurs, ni au LUX, qui n’a jamais trouvé ses marques dans ses salles Keaton et Truffaut. La rupture est consommée ; en octobre, le LUX regagne sa salle de l’avenue Sainte-Thérèse où, malgré l’interdiction d’y projeter des films, le LUX n’a jamais cessé d’être présent.
1990 – Le jour de son 30e anniversaire, les responsables du LUX prononcent un discours plutôt pessimiste : malgré tous leurs efforts, le redémarrage après les deux ans de fermeture s’est montré très laborieux. Dernière monosalle de l’agglomération, le LUX n’obtient pas toujours les exclusivités susceptibles d’assurer sa stabilité et la fréquentation s’estompe malgré une intense activité et la qualité de la programmation qui lui valent, tout de même, de récupérer son classement « Recherche » qu’il avait perdu rue des Jacobins.
1992 – Le 10 octobre, Gilbert Benois dédie l’insigne de Chevalier des Arts et des Lettres qui lui est remise à la Mairie de Caen par Jean Lescure (président de l’AFCAE et représentant du Ministre de la Culture) aux 300 bénévoles qui, depuis 32 ans, font vivre l’association. Il sait, cependant, qu’en ces années troubles de chômage, le bénévolat connaît ses limites et que, face aux difficultés, le revers de la médaille risque d’être plus sombre si les pouvoirs publics ne réagissent pas.
1995 – Alors que l’exploitation vit une vague d’ouverture de multiplexes et que le Café des Images annonce la création d’une 3e salle, le LUX lance le chantier qu’il nourrit depuis plusieurs années et annonce « deux fois plus de LUX » pour novembre. Le centenaire du cinéma donne à l’ancienne salle les dernières belles pages de son histoire et Luchini y fait un show mémorable devant une salle bondée et survoltée. En fin d’année, dans la foulée de l’inauguration de la seconde salle, la nouvelle équipe, dirigée par Didier Anne qui prend la succession de Gilbert Benois, accueille la 1ère édition de la Semaine du Cinéma Ethnographique initiée par le CRéCET.
2000 – Malgré l’ouverture du complexe UGC à Mondeville (12 salles) et la transformation du Paris en un 3e complexe Art et Essai dans l’agglomération (Le Pandora), l’association, forte de ses nouveaux adhérents et de la consolidation de son équipe de permanents (qui bénéficie, notamment, des mesures sur les « Emplois-jeunes »), affiche une belle santé et est une quadragénaire en pleine jouvence : son classement Art et Essai s’est consolidé avec les trois labels « Recherche & Découverte », « Répertoire & Patrimoine » et « Jeune Public » dont ne bénéficient que 50 établissements en France et elle fait désormais partie du réseau des salles Europa Cinémas.
2004 – Après la disparition du Pandora et avant celle probable du Pathé Malherbe, le LUX se voit doublement endeuillé : par le décès de Gilbert Benois et par la chronique d’une mort annoncée pour l’ACCAAN. Le LUX se console cependant avec des projets tournés vers l’avenir : le rachat du vidéoclub, indépendant depuis 1995, qu’il intègre désormais à son activité ; la création d’une 3e salle, projet que son Président, Jacques Lambert, a mis sur les rails depuis que le LUX a pris le wagon de Caen la Mer. Le tram aidant, le LUX a franchi depuis deux ans le cap des 100 000 entrées et ne cesse d’augmenter ses entrées.
2007 – Nouveau programme, nouvelle salle, nouveaux espaces "pour encore plus de LUX !", l’association inaugure en grandes pompes sa 3e salle dont le chantier, qui a duré 6 mois, s’est achevé le mois précédent. En mars, le samedi 24 précisément, le LUX devient sous-présipauté grolandaise et compte désormais deux présidents : Serge David, celui du LUX, et Christophe Salengro, celui de GROLUX…
2009 – Alors qu’on apprend officiellement qu’EuroPalaces installera 10 salles sur les rives de l’Orne et fermera le Pathé Lumière, dernier complexe ancienne génération de l’agglomération, le LUX se voit confier la gestion et la programmation du Trianon à Lion-sur-Mer et se félicite de la réouverture, après 2 ans de fermeture, de la salle Pierre Daure à l’Université, totalement rénovée. Avec l’ensemble de ses partenaires, institutionnels, culturels et associatifs, il prépare d’arrache-pied les célébrations de son 50e anniversaire qui feront de "2010, l’année du cinéma à Caen".
2012 – Dans la continuité de la construction de la salle 3, le Cinéma LUX entreprend de nouveaux travaux pour réorganiser et rénover le hall d’accueil et la cafétéria.
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L’Association
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Le Cinéma Lux est une association subventionnée loi 1901. L’Association, qui est propriétaire de l’immeuble et exploite l’activité cinématographique conformément à l’objet de ses statuts, est composée de tous les membres qui ont adhéré aux dits statuts. C’est l’Assemblée Générale des adhérents, réunie au moins une fois par an, qui seule peut prendre les décisions importantes et qui décide les orientations financières. Pour les décisions à prendre entre deux réunions, elle délègue une partie de ses pouvoirs à un Conseil d’Administration de 9 membres, élus pour 6 ans avec renouvellement d’un tiers tous les deux ans. Le Conseil se réunit au moins 3 fois par an.
Le Conseil d’Administration est composée de : Serge David (Président), Frédéric Nocquet (Vice-président), Christophe Pelletier (Trésorier), Laurence Debiolles (Secrétaire), Laurent Ménochet, Elisabeth Delmas, Carine Olejniczak, Dorothée Poinsotte et Catherine Blanchard.
En son sein, le Conseil désigne un Bureau de 4 personnes habilité à prendre certaines décisions dont il rend compte au Conseil. C’est le Conseil d’Administration qui crée les postes salariés et décide les rémunérations correspondantes. Les salariés de l’association peuvent être adhérents mais ne peuvent pas faire partie du Conseil d’Administration. Aucune rétribution ne peut-être versée pour l’exercice des fonctions ci-dessus.
L’employeur est l’association, représentée par son Président. Le personnel qui compose l’équipe permanente (actuellement 15 salariés) est sous l’autorité du Directeur, ou celle du Directeur Adjoint en son absence. Le Directeur est chargé en particulier de :
l’exécution des décisions de l’Assemblée Générale et du Conseil d’Administration ;
la programmation et l’animation ;
le planning du personnel et des bénévoles ;
la gestion courante.
il délègue autant que besoin à ses collaborateurs, chacun pour ce qui le concerne. Il rend compte régulièrement au Président.
L’équipe permanente est secondée par une centaine de bénévoles.
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L’Equipe permanente
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Direction
Gautier LABRUSSE, Direction
Animation
Romuald PORETTI, Responsable des animations et des relations presse
Olivier ROULLET, Responsable des programmations scolaires et CE
Aurore BOSQUET, Responsable de l’Education à l’imageBilletterie / Accueil
Manuela PHILIPPE, Comptabilité / Billetterie
Mathilde FRAS, Billetterie / Programmation des salles partenaires
Fabienne CEBADOR, Billetterie / Site Internet / Vie associative
Blaise ZAGALIA, Billetterie
Thomas AUFORT, Cafétéria / Boutique / Vidéoclub
Sébastien GAI, Cafétéria / Boutique / VidéoclubProjection / Technique
Arnaud BERARD, Chef de cabine / Projectionniste
Fabrice GUILLEMINE, Projectionniste / Maintenance
Olivier BARON, Projectionniste / Billetterie -
Les Bénévoles
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Après sa création en 1959, le Cinéma Lux a fonctionné pendant de nombreuses années exclusivement grâce à des bénévoles, membres ou non de l’association. Les besoins spécifiques liées à l’exploitation du Cinéma ont rendu nécessaire le recours progressif à du personnel salarié. Mais le maintien d’une activité bénévole a toujours été considéré comme indispensable pour la pérennité du Cinéma Lux. Car, outre le soutien qu’ils lui apportent dans son fonctionnement quotidien, les bénévoles assurent une relation privilégiée avec le public en participant à sa fidélisation et en contribuant au bouche à oreille. Leur accueil et l’organisation de leur participation sont assurés par un membre de l’équipe permanente.
Les permanents du Cinéma Lux sont donc épaulés par une équipe d’une centaine de bénévoles. Ils sont chargés de façon quasi exclusive de la diffusion du programme par secteur et ravitaillent leurs zones au fil du mois. Ce sont eux, aussi, qui de leurs petites mains expertes mettent sous plis les programmes que les abonnés reçoivent à leur domicile. Ils assurent à tour de rôle une permanence d’accueil chaque soir et week-end au LUX, renseignent les spectateurs, veillent au bon déroulement des séances et au confort des spectateurs.
Les bénévoles sont avant tout des mordus de cinéma. Vous les avez sans doute rencontrés dans nos salles. Ils favorisent la convivialité du lieu en l’animant par des discussions passionnées autour des films avec parfois des empoignades, des emballements voire des délires qui font du LUX un lieu vivant et unique.
Conformément aux statuts de l’Association, les bénévoles peuvent en devenir membres après une année d’aide effective à son fonctionnement, après agrément du Conseil d’Administration (demande à adresser par courrier au Président, avec parrainage de deux membres actifs). Actuellement, l’Association et son Conseil d’Administration comportent plusieurs bénévoles qui ont adhéré à ses statuts.
Si vous souhaitez vous-même devenir bénévole du Cinéma LUX, vous pouvez contacter Fabienne CEBADOR par mail : fabienne[at]cinemalux.org.
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Les Salles
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Sans revenir sur l’historique complet du Cinéma LUX, on peut préciser à propos des locaux que le bâtiment est marqué par l’époque où il a été construit (fin des années 50) et sur sa destination première. Le Cinéma Lux a été construit par des ouvriers du quartier Sainte-Thérèse, projet initié par la paroisse qui en était le propriétaire et qui avait prévu une partie salle de spectacle dans le cadre du patronage et une partie dispensaire insufflant déjà un caractère social à ce site. On peut d’ailleurs retrouver en façade (discrètement dans le bas) une citation "Tu aimeras ton prochain".
Cette grande forme rectangulaire du Cinéma Lux subira au fil des années assez peu de modifications extérieures. La première importante aura lieu lors des travaux de 1995 transportant l’entrée principale de la rue Soulié à l’avenue Sainte-Thérèse, la deuxième en 2006 avec l’extension de la 3ème salle. Les transformations intérieures ont quant à elles été plus régulières et parfois assez spectaculaires. De la première grande rénovation de la salle dans les années 70 avec ses fameux fauteuils rouges et ses poutres en bois jusqu’aux travaux de 1995 où il ne restait plus que les 4 murs extérieurs. Les fauteuils des salles 2 et 3 ont de nouveau été changé courant 2012.
Le Lux est donc équipé aujourd’hui de 3 salles, 2 grandes et une petite :
La salle 1 de 179 places et son écran de 11 mètres de base
La salle 2 de 204 places et son écran de 11 mètres de base
La salle 3 de 56 places et son écran de 5 mètres de base
Toutes les salles sont accessibles aux personnes à mobilité réduites.
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Le Logo
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Depuis 2010, année de son 50ème anniversaire, le cinéma LUX dispose d’un nouveau logo. Vous trouverez en téléchargement une charte graphique détaillée (en pdf) des différentes déclinaisons du logo et de son utilisation sur différents documents.
Quelques recommandations préliminaires :
On convient qu’il faut écrire Cinéma LUX avec un C majuscule à Cinéma et LUX en majuscule (et non Cinéma Le LUX) ;
Les lettres blanches du logo doivent toujours être utilisées sans défonce ;
Le contour ne doit jamais être borduré ;
Avant chaque publication, merci de nous faire parvenir un BAT des documents à l’adresse cinemalux[at]cinemalux.org.
Le logo du Cinéma LUX :
Le logo du cinéma LUX version web
Pour tous renseignements complémentaires, merci de contacter Romuald PORETTI au 02 31 82 29 87 ou via le formulaire de contact.